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Chasseur immobilier Golfe du Lion Hérault votre résidence secondaire ou principale sur le littoral de l'Hérault 34

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Le
littoral de l'Hérault arbore une belle diversité
L’Ile singulière, d’après l’expression de Paul Valéry,
s’épanouit entre la Méditerranée et l’Etang de Thau.
Il fait bon déambuler le long des canaux et des quais de Sète.
La
commune, longtemps fréquentée par des artistes tels que Georges
Brassens, Manitas de Plata, Jean Vilar ou les frères di Rosa,
s’inscrit comme le premier port de pêche français.
Situé à 17 km de Montpellier,
Vic-la-Gardiole appartient à la communauté d’agglomération
du bassin de Thau.
Jouissant de la proximité de la mer et du massif de La Gardiole,
elle passe, selon les saisons, de 3000 à 10.000 résidents.
Récemment, une rue piétonne voit le jour et l’accessibilité gagne en
confort.
La station balnéaire et le port de plaisance de La
Grande-Motte naissent dans les années 1960 et 1970.
L’architecte Jean Balladur conçoit les fameux immeubles en forme de
pyramides.
Deux étangs marquent les limites de la bourgade abritant 3 ha de
plages, 7 km de voies vertes et 85 ha d’espaces golfiques, situés en
bordure des localités de Mauguio, d’Aigues-Mortes
et du Grau-du-Roi.
Le centre nautique et le casino contribuent au divertissement des 2
M de touristes reçus chaque année au sein de la localité, illustrant
au quotidien sa devise "Un nouvel art de ville".
Entre Agde
et Sète,
une rivalité s’installe dès l’arrivée des bateaux à vapeur. Le port
de Sète gagne alors la partie.
Agde, nichée au fond du golfe du Lion,
prend un nouvel essor grâce à la construction dans les années 1970
de la station balnéaire du Cap d’Agde, devenant
l’un des plus importants ports de plaisance de Méditerranée et la
première station touristique de France, eu égard à la capacité
d’hébergement.
Sa renommée, elle la doit aussi à son quartier naturiste. Trois
pôles urbains se distinguent : la ville, articulée autour du centre
historique sur la rive gauche de l’Hérault, le Grau-d ’Agde
et le Cap-d ’Agde.
La spécificité tient à la part des résidences secondaires, frisant
les 75 %. Au plus fort de la saison, la population est susceptible
d’atteindre le pic de 200.000.
Un chiffre, qui pose le problème de l’emploi, largement saisonnier.
Le parc immobilier est, en outre, relativement
récent et morcelé. Au changement de siècle, il subit l’une des plus
fortes progressions de prix du département.
Les deux derniers secteurs cristallisent l’engouement des acquéreurs
de la villégiature, majoritairement français, disposés à investir de
60.000 à 130.000 € dans un studio ou un deux-pièces de vacances.
Dès qu’il possède une vue sur la Méditerranée, le T2 avoisine
180.000 €. S’il demeure dynamique, le créneau pâtit de la crise.
Très souvent, le choix entre le Grau et le Cap est arrêté en amont.
Les uns plébiscitent le village de pêcheurs authentique. Les autres
apprécient la festive station balnéaire et ses plages de sable.
Le Grau d'Agde, en bordure de fleuve, accueille une
zone de villas des plus cotées, de 150-200 m2, sur des parcelles de
1000 m2, commercialisées entre 500.000 et 800.000 € hors exception.
Une enclave que se partagent commerçants et retraités hexagonaux.
Les séniors français en quête de soleil lorgnent, également, sur les
pavillons de type 4, entre 200.000 et 300.000 €.
Parmi les acheteurs : très peu d’actifs. Un constat à mettre en
perspective avec la typologie des emplois sur Agde,
très souvent saisonniers.
Méditerranée et étang de Thau baignent les côtes de
Sète. Avec 3,4 M de tonnes en 2010, le trafic du port est en hausse,
s’inscrivant également comme le premier port de pêche français de la
Méditerranée. Touristique en été, la commune n’a de cesse de
développer la qualité de l’accueil.
La ville de Sète, patrie de Georges Brassens, édifiée entre étang et
Méditerranée réunit tous les suffrages.
La détentrice du Pavillon Bleu accueille le badaud d’avril à fin
octobre.
La population, évaluée en temps normal à 43.000 personnes, double en
aout. Sur les hauteurs, le mètre ancien se négocie de 2000 à 3000 €,
tandis que le neuf s’échelonne de 3000 à 4000 €.
Les clients du secondaire, à 90 % hexagonaux, déboursent
généralement de 150.000 à 250.000 €, recherchent un appartement dans
80 % des cas, rêvent de vue mer et de terrasse.
Si le Mont Saint-Clair était encore la campagne des
autochtones en 1950, la moitié des actuels propriétaires du quartier
haut de gamme est, aujourd’hui, étrangère à la région.
Quelques Belges, Suisses ou Allemands, prêts à dépenser de 500.000 à
1,5 M €, s’offrent là 300 m2 habitables sur des parcelles d’environ
2000 m2.
Malgré la crise, les prix et le volume des achats de villégiature
observent une relative stabilité.
La faible distance qui sépare l’adresse de l’autoroute et de
l’aéroport de Montpellier Hérault, les 20 km de
plages sis entre Sète et Marseillan,
la qualité du poisson et des crustacés, parmi lesquels les
incontournables huitres de Bouzigues, constituent
autant d’atouts à son actif.
A Sérignan, le tourisme s’organise après les années
1960, au détriment des champs de vignes. Là aussi, un complexe
naturiste s’installe. Le port affiche 320 anneaux maritimes et 60
appontements sur la rivière. On évoque le projet d’une station
balnéaire nouvelle génération. Pour l’heure, le principal atout
réside dans l’association d’un bassin de vie et d’un littoral
préservé peu urbanisé.
A seulement 3 km de Vic, se trouvent la mer et une
large étendue de sable fin que l’on peut atteindre à vélo.
Le poumon vert de Montpellier partage le même biotope que la
Camargue, séduisant quantité d’amoureux de plaine sur le couloir
Rhône-alpin, en Alsace et région parisienne, vers
Toulouse, Nantes ou Angers.
Jusqu’au dernier trimestre 2009, les résidents occasionnels se
répartissent sur les gammes 100-150.000 € et 200-280.000 €.
Depuis, la tendance baissière se précise avec une moyenne
d’investissement comprise entre 60.000 et 100.000 €, une somme
permettant d’obtenir 25-30 m2, avec jardinet si l’on parvient à
rassembler 120.000 €.
Certains recherchent des maisons orientées sur l’immensité azur
et/ou l’étang de Thau. Ces Français, susceptibles de débourser de
400.000 à 600.000 €, exigent une architecture contemporaine, de
belles prestations et un rapport qualité/prix réaliste.
Qu’il s’agisse des petits appartements ou des jolies villas, la
pénurie fait rage.
Les vendeurs, pas forcément prêts à diminuer davantage leur bien,
n’hésitent pas à les retirer des fichiers pour les mettre en
location.
Peu à peu, la vocation principale supplante le segment secondaire.
D’autant que le marché montpelliérain arrive à saturation, que la
première station de tramway se dresse à 7 km seulement de Vic
la Gardiole et que
la gare envisage d’améliorer les rotations avec la Préfecture de
Montpellier.
Ce penchant à la sédentarisation, est notable également à La
Grande-Motte. La particularité de la destination tient à la
diversité du parc immobilier, en passe de rénovation.
L’intéressé a, en effet, le choix entre les studios sans panorama
particulier souvent exploités en location saisonnière compris de
2500 à 3000 €/m2, les T2, de 120.000 à 150.000 €, les T3, à partir
de 200.000 €, et les T4, entre 400.000 et 500.000 €.
La moindre vue mer débute à 4000 €/m2. Les grandes surfaces manquent
cruellement, comme les stationnements.
Un emplacement de parking coute, par exemple, 10-20.000 €, un
garage, aux alentours de 30.000 €.
Les secteurs demandés, le centre, le port et le Point Zéro, sont
aussi les plus vivants.
Les amateurs de villas prennent la direction de Haute-Plage et du
golf, où ils paient 450.000 € pour un pavillon de 80 m2 sur un
terrain de 200 m2 ou plus de 1 M € pour 150 m2 sur 450 m2 avec
piscine.
Le site, huppé lors de sa création, grandement démocratisé entre
temps, présente un important potentiel.
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