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Chasseur immobilier Locations meublées à Paris
DETECTIMMOBILIER® votre chasseur d'appartement meublés à Paris - Réussissez la rentabilité de votre investissement dans la Capitale
Faites-vous partie des nouveaux convertis à la location meublée de longue durée?
Les Français sont de plus en plus nombreux à se lancer dans l’aventure.
Au cours de l’été dernier, entre juin et aout, les annonces pour de la location meublée longue durée ont explosé :
+ 91 % à
Bordeaux
+ 84 % à
Nice
+ 67 % à
Paris
Mais est-ce une bonne idée de se lancer ainsi tête baissée dans de la location meublée longue durée ?
Attention aux décisions prises dans la précipitation.
En matière d’immobilier, s’il y a bien une règle d’or, c’est d’anticiper.
Vous ne le savez peut-être pas encore, mais il existe de nombreux choix à faire si vous voulez investir dans l’immobilier locatif.
Et ils sont cruciaux, car ils ont des conséquences majeures sur l’argent que votre placement va vous rapporter.
En effet, le
montant d’un loyer n’est jamais réellement la somme que vous allez
empocher.
Il faut compter avec les impôts.
DETECTIMMOBILIER® est le spécialiste de la location
de meublés à Paris.
La location d'appartements meublés obéit à des règles et contraintes
très particulières.
Chaque logement doit être équipé du mobilier et accessoires
nécessaires au bon fonctionnement et à la vie courante du locataire.
La loi française en matière de location meublée fixe, par exemple, la
durée du bail et
de ses modalités de résiliation, ou encore les règles de fixation du loyer.
Le contenu du contrat de location à utiliser pour ce type de location est aussi
règlementé. Une liste du mobilier à fournir est d'ailleurs fixée par décret pour les logements loués en tant que résidence principale du locataire.
Depuis la
loi Alur de mars 2014, l'article 25-4 de la loi du 6 juillet 1989
définit de façon suivante la liste des éléments que doit au minimum comporter ce mobilier, fixé par le décret n° 2015-981 du 31 juillet 2015.
Depuis le 1er septembre 2015 (date d'entrée en vigueur du décret), le mobilier d'un
logement loué meublé doit au moins comprendre les éléments suivants :
- Une literie comprenant couette ou couverture
- Un dispositif d'occultation des fenêtres dans les pièces destinées à être utilisées comme chambre à coucher
- Des plaques de cuisson
- Un four ou four à micro-ondes
- Un réfrigérateur et congélateur ou, au minimum, un réfrigérateur doté d'un compartiment permettant de disposer d'une température inférieure ou égale à - 6 °C
- Une vaisselle nécessaire à la prise des repas
- Des ustensiles de cuisine
- Une table et des sièges
- Des étagères de rangement
- Des luminaires
- Du matériel d'entretien ménager adapté aux caractéristiques du logement.
De plus, spécifiquement à Paris, en ce qui concerne le
prix du loyer,
celui ci doit être fixé en respectant également les loyers de référence qui s'appliquent dans le
secteur où est situé le logement.
Depuis
des années,
DETECTIMMOBILIER® a été l’un des premiers acteurs de l’immobilier à proposer uniquement de la
location meublée sur
la Capitale, répondant ainsi à une demande exponentielle en termes
de logement temporaire mais également saisonnier.
Fort de ce service et de ces prestations,
nous vous offrons
actuellement un vaste choix de logements meublés pouvant répondre à tous les besoins
quelle que soit la capacité d'accueil nécessaire : tourisme en famille, étudiant, logement salons et voyages d’affaires, location longue durée...
Un simple clic sur le bouton ci dessous nous permet d'étudier immédiatement votre projet immobilier en location meublée sans engagement et vous conseiller sur les meilleures options pour l'achat de votre bien.
Quelles sont les villes ou la location meublée est plus intéressante que la location d'un logement vide ?
Alors, quelles sont ces villes où se loger en meublé est bien plus intéressant que via une location classique ?
Les bonnes affaires sont à trouver du côté de l’Ouest de la France.
A
Nantes, le loyer moyen pour un meublé (charges comprises) est de 663 euros, soit 6,9% moins cher qu’une location nue (712 euros).
A
Rennes, la différence est de 4% à 607 euros pour une location meublée (contre 632 euros pour un logement meublé) tandis qu’à
Argenteuil, un locataire profitera d’un écart de 3,5% entre un loyer pour un meublé (793 euros) et un logement vide (823 euros).
On retrouve ensuite
Brest avec un loyer moyen (charges comprises) d’un logement meublé (555 euros) 2,6% inférieur à celui d’une location nue (595 euros).
Cette tendance est à mettre en perspective avec une hausse de 7,7% des loyers des biens loués vides entre les mois d’avril 2020 et d’avril 2021.
A Besançon le rabais moyen, toujours charges comprises, ressort à 2,3% à 581 euros.
Montreuil (-1,1%) et
Amiens (-0,5%) ferment la marche des villes où les loyers moyens des
logements meublés sont plus attractifs qu'en location nue.
Inversement,
Lyon ne sera pas la meilleure destination pour poser ses valises dans un
logement meublé.
La cité des Gones est en tête des villes de plus de 100.000 habitants où la "surprime" pour louer des appartements meublés est la plus élevée.
Pour profiter d’un logement meublé, il faudra débourser en moyenne 17,7% de plus que pour une location nue, avec un loyer de 1.018 euros charges comprises (contre 865 euros en location vide).
A
Toulouse, la différence est sensiblement la même (+17,3% pour un loyer meublé moyen de 766 euros) tandis qu’à
Strasbourg, un locataire privilégiant un appartement meublé devra mettre en moyenne 2,3% de plus (813 euros) que pour un appartement vide (726 euros).
Dans ces grandes métropoles, les propriétaires de meublés saisonniers de courte durée ont dû augmenter leurs loyers pour compenser la perte liée à l’absence de voyageurs d’affaire et des étudiants.
Dans
la capitale, la différence ressort à 11,2% entre un loyer moyen d’une
location meublée (1.795 euros) et une location nue (1.613 euros).
Des écarts importants sont aussi visibles à
Annecy (+10,1% à 903 euros),
Aix en Provence (+9,1% à 905 euros) et
Le Mans (+8,7% à 556 euros).
Mais le marché des logements meublés devrait se normaliser avec des prix des loyers qui devraient revenir à des niveaux plus raisonnables de fin 2019 - début 2020.
Fiscalité et immobilier : pourquoi il est si facile de se tromper ?
Je me suis trompé.
Je ne savais pas.
Je ne pensais pas que cela fonctionnait comme ça.....
Voici les phrases que l’on entend le plus de la part des investisseurs immobiliers qui revendent leurs biens sur un constat d’échec.
Juste après suivront des remarques telles que "Tu ne devrais pas, tu ne vas rien gagner, le fisc va tout prendre, l’immobilier ça ne rapporte rien, c’est un mythe."
En matière d’investissement immobilier, certaines personnes se trompent et y laissent des plumes, c’est indéniable.
Ils ne sont pourtant pas moins intelligents que les autres.
Seulement moins informés.
Il est très facile de ne pas gagner d’argent en investissant dans l’immobilier.
Heureusement, il est aussi parfaitement possible d’en gagner, au point de devenir financièrement indépendant, c’est dire....
La différence entre ces deux issues réside dans plusieurs choses.
Tout d’abord, dans la rentabilité du bien que vous achetez.
Il existe de nombreuses astuces qui permettent de sélectionner judicieusement son bien immobilier, mais ce n’est pas de cela que nous parlerons aujourd’hui.
Le deuxième élément qui fera la différence, ce sont les impôts.
Pour un même loyer perçu, vous pouvez être imposé à au moins trois taux différents.
Êtes-vous sûr d’avoir opté pour l’option la plus basse ?
Le problème est que les investisseurs, bien souvent, ne connaissent pas les options dont ils disposent.
Rares sont les banquiers à vous expliquer clairement quelle stratégie fiscale adopter pour votre
investissement.
Quand rien n’est simple, il est si facile de faire les mauvais choix
Avant de parler chiffres et taux d’imposition, sachez que la part de vos revenus immobiliers que vous allez devoir laisser au fisc dépend de plusieurs éléments :
- Le bien que vous mettez en location est-il meublé ou vide ?
- Détenez-vous le bien en direct ou sous une autre forme juridique ?
- Avez-vous saisi toutes les opportunités de défiscaliser vos revenus locatifs ?
- Qu’avez-vous l’intention de faire de vos revenus locatifs ?
La réponse à ces questions va conditionner le montant d’argent que vous pourrez dégager d’un bien.
Immobilier et fiscalité : les règles de base à connaitre absolument
La location nue en direct est source de nombreuses erreurs.
Acheter un bien immobilier en nom propre puis le mettre directement en location, c’est évidemment ce que la plupart d’entre nous imaginent lorsque l’on parle d’investir dans l’immobilier locatif.
D’ailleurs, la location nue est la solution adoptée par la majorité des investisseurs immobiliers en France.
Pas besoin d’investir dans des meubles ou de l’électroménager avant de mettre le bien en location, avec un peu de chance les locataires resteront longtemps, il ne reste qu’à fixer le montant du loyer et tout est réglé ou presque.
Ou presque, en effet.
L’erreur : croire que vos loyers font l’objet d’une seule imposition.
En réalité, vos revenus locatifs sont doublement imposés.
Ils sont imposés au titre de l’impôt sur les revenus.
Le taux d’imposition va donc dépendre de votre situation personnelle et du taux marginal d’imposition dont vous dépendez.
Il peut être de 0 %, 11 %, 30 %, 41 % ou 45 %.A cela, s’ajoutent également les prélèvements sociaux.
Vous devez aussi compter avec 17,2 % d’imposition, au titre de la CSG et de la CRDS.
Ainsi, avec la location nue, vos loyers peuvent donc se retrouver très lourdement imposés.
L’astuce pour faire baisser votre imposition avec la location nue :
Il existe 2 régimes fiscaux pour définir votre mode d’imposition avec la location nue.
- L’imposition au régime du micro-foncier
- L’imposition au régime réel
Ce qui change : la manière de calculer la base imposable constituée par vos revenus locatifs.
Choisissez bien votre régime fiscal, car plus votre base imposable est faible, moins le montant de vos impôts sera important.
Le micro-foncier
Il s’applique si vos revenus fonciers sont inférieurs à 15 000 € par an.
C’est l’option la plus simple pour un propriétaire.
Ce que vous avez à faire : déclarer le montant des loyers perçus à l’administration fiscale.
La réduction qui s’applique : le fisc déduit automatiquement 30 % du montant de vos loyers.
Votre base imposable est donc de 70 % des montants perçus.
Le régime réel
Le régime réel s’applique automatiquement si vos revenus locatifs vous rapportent plus de 15 000 € par an.
Si vous gagnez moins, vous pouvez également l’obtenir sur demande.
Ce que vous avez à faire : ici, c’est à vous de déduire vos frais avant de déclarer vos revenus fonciers imposables.
Sont principalement déductibles :
- Les intérêts de l’emprunt,
- L’assurance emprunteur,
- L’assurance habitation propriétaire non occupant,
- La taxe foncière hors ordures ménagères,
- Les travaux déductibles...
Comment choisir votre régime fiscal ?
Faites un calcul :
Si le montant de vos charges déductibles représente plus de 30 % de vos revenus locatifs, alors optez pour le régime réel.
Si elles pèsent moins, alors profitez tout de même d’un abattement de 30 % en restant au régime du micro-foncier.
Pour mieux comprendre, voici une comparaison entre les deux modèles, sur la base d’un revenu locatif de 10 000 € et d’une tranche marginale d’imposition à 11 %.
Régime Micro-foncier
Loyers : 10 000 €
Abattement avant impôt : -30 %= 7 000 €
Imposition à l’IR à 11 % : 7 000 € * 11 % = 770 € d’impôts sur le revenu.
Auxquels s’ajoutent 17,2 % de prélèvements sociaux :7 000 € *17,2 % = 1 204 € de CSG et CRDS.
Soit un montant total d’impôt de 1 204 + 770 = 1 974 € sur les 10 000 € de revenus fonciers de départ.
Régime réel
Loyers : 10 000 €
Déductions applicables :
Taxe foncière : 2 000 €
Intérêts de l’emprunt : 1 000 €
Travaux d’entretien : 2 000 €
Assurance : 1 000 €
Total des déductions : 6 000 €
Base imposable : 10 000 – 6 000 = 4 000 € Imposition à l’IR à 11 % = 440 €
Prélèvements sociaux : 4 000 * 17,2 % = 688 €
Soit un montant total de l’impôt de 440 + 688 = 1 128 € sur les 10 000 € de revenus fonciers de départ.
Ainsi, le régime micro-foncier, qui est le plus choisi par les Français, est aussi le plus
couteux en impôts.
Un choix qui vous couterait 846 € de plus que le régime réel sur une année, dans le cadre de notre exemple.
N’oubliez pas d’adapter cet exemple sur la base de votre propre taux marginal d’imposition.
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